Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

03 CLUB des ANCIENS de BOUAKÉ : 2ème Sortie commentée par CISSOKO Moussa dit Moses

par CISSOKO_Moussa_dit_Moses

publié dans LOISIRS

SORTIE DU 07 Août 2010 : UN REPORTAGE DE CISSOKO Moussa dit Moses

 

 

Mille pardons pour le reportage tardif dû à un impondérable! Merci !

Le Samedi 07 Août 2010 a été le jour choisi par le CLUB des ANCIENS de BOUAKÉ pour sa 2ème sortie officielle.

 

Ce jour, pas comme les autres, n’a pas été proposé au hasard par Liliane KOUAKOU, l’administrateur et créateur de notre CLUB sur FACEBOOK. En effet, elle avait à cœur d’immortaliser le CINQUANTENAIRE de L’INDÉPENDANCE de notre très cher pays, la Côte d’Ivoire.

 

La 1ère sortie ayant eu lieu à la PAILLOTE BEACH, un splendide restaurant gastronomique sis en bordure de lagune sur la route de DABOU et nous ayant enchanté, rien ne pouvait justifier un déplacement sous d’autres cieux.

L’itinéraire fut le même avec pour point de rassemblement toujours la Station TOTAL de l’autoroute de YOPOUGON.

 

Pour nous conformer à la tradition, il y eu d’abord les échanges de civilités avant la mise en branle du convoi constitué d’une quinzaine de voitures et non des moindres en direction de la PAILLOTE BEACH. Gloire à DIEU ! Oui, comment ne pas remercier le Seigneur, Lui qui a permis à des gens, alors élèves ou étudiants à BOUAKÉ dans les années 90 qui n’avaient à cette époque d’autres moyens de locomotion que les guiboles, pardon, les jambes, de s’offrir de rutilantes et grosses cylindrées même si celle de votre serviteur a été qualifiée à tors ou à raison de guimbarde par l’inégalable et affable MISSA Ettien encore une fois en « côco ».

 

Mais cette fois, un « côco » très exigeant, étant donné qu’il n’a eu d’yeux que pour l’imposant 4x4 du pharmacien Idriss TRAORÉ au détriment des voitures, quasiment d’égal standing, qu’il avait l’habitude d’emprunter et qui lui ont souventes fois rendu d’énormes services.

 

Nous passerons sous silence les titres et fonctions des uns et des autres pour dire tout simplement que BOUAKÉ, crème nourricière de l’intelligentsia ivoirienne, a formé des élites émérites connues et reconnues comme telles tant en Côte d’Ivoire qu’à l’étranger.

 

Une fois arrivé à la PAILLOTE BEACH, après l’installation, on eu droit d’abord à des apéritifs non alcoolisés pour les musulmans et légèrement alcoolisés pour les autres membres du Club avant un copieux repas dont l’évocation seule du contenu aurait pu, si on n’était pas à quelques jours du Ramadan, déstabiliser plus d’un jeûneur musulman. Puisse Allah me pardonner !

 

Sans ambages, nous avons mangé et bu à satiété. En témoigne l’excédent pondéral de BARBOZA ANGELO de SOUZA au moment de quitter la PAILLOTE BEACH, une de ses trouvailles quoique nous ne sachions jusque-là quand, comment et en compagnie de qui il a déniché ce beau et discret restaurant. On le saura un jour.

 

La boisson comme à l’accoutumée n’a pas manqué. Les « Saffroulaïs » pour ne pas dire la liqueur et la bière ainsi que les « Bismilahis » que dis-je, les canettes de sucreries étaient au rendez-vous. En tout cas, il y en avait à profusion. Mais pour une fois, et bien sûr « au grand dam » des autres membres du CLUB, les non consommateurs de boissons alcoolisées se sont taillé la part du lion en emportant chez eux toutes les canettes de sucreries restantes.

 

Les photos de BAZ et DIABY MOUSTAPHA, qu’ils ne m’en tiennent pas rigueur, en sont des illustrations patentes et claires. Votre serviteur que je suis n’a dû son salut qu’à la décharge de la batterie de l’appareil de circonstance sinon, la photo que Flavien KOUAKOU KAN s’apprêtait à lui prendre aurait été celle du siècle.

 

Pour ce qui est de l’orientation à donner à notre CLUB, il faut le reconnaître, de belles propositions ont été faites.

À commencer par celle de SARAN FADIKA Epse FADIGA qui a souhaité qu’il y ait au sein du CLUB une solidarité et une disponibilité à toute épreuve avec des projets et objectifs communs voire viables où chaque membre se verra assigner un rôle précis de sorte à ne pas donner l’impression que c’est toujours une, deux ou trois personnes qui sont à chaque fois au four et au moulin.

 

À sa suite, Yolie DÉGNI, prenant la parole, a suggéré que le CLUB soit une vraie association légalement constituée qui mène des actions véritablement sociales avec à la clé des dons par exemple à l’Université de Bouaké, à des orphelinats, etc. Par ailleurs, elle a proposé, à l’instar de tous les autres membres présents, qu’on puisse dans la mesure de nos possibilités aider à l’insertion dans la vie active nos jeunes frères fraîchement sortis de l’Université et des Grandes Ecoles de BOUAKÉ.

 

Il y eu d’autres propositions intéressantes, notamment, celles de PRÉGNON HIPPOLYTE, LILIANE KOUAKOU, DIABATÉ BAZ, MISSA ETTIEN, CISSOKO MOSES, BREKA OLIVIER,  SARAH BAMBA (petite sœur de SARAN FADIKA), BLÉ BÉNÉDICT dit BARBOZA, MIREILLE DIBY KOUASSI, IDRISS TRAORÉ, FLAVIEN KOUAKOU KAN, MARIAM BAMBA, SOLANGE KRA, MELANIE KOSSONOU, MOUSTAPHA DIABY et son épouse ZENAB SAKO, propositions sur lesquelles nous comptons revenir très bientôt.

 

Mais avant, il faut retenir que nous avons à l’unisson décidé d’une sortie tous les 3 mois avec pour prochaine destination, YAMOUSSOUKRO. On a aussi envisagé, et ce par le biais d’articles de presse, de faire mieux connaître notre Club.

 

À cet effet, MISSA ETTIEN a promis de prendre attache avec 2 de nos promotionnaires ex-étudiants de BOUAKÉ qui font les beaux jours, en qualité de journalistes, de 2 célèbres quotidiens du pays. Il s’agit en l’occurrence d’ALHOUCEINE SYLLA et d’ASSOUMANE BAMBA.

 

On a aussi souhaité que le CLUB soit apolitique et qu’il n’y ait aucun clan sous-tendu par des considérations ethniques ou religieuses. LILIANE KOUAKOU nous a, par ailleurs, annoncé les arrivées très prochaines de 2 de nos expatriés, ADOH BOSSON et HYPOLITE YEBOUE.

 

Après ces fructueux échanges nous avons quitté la PAILLOTE BEACH et mis le cap vers la discothèque HIFINE où nous avons dansé jusqu’à 21 h aux sons de plusieurs genres musicaux, les plus en vogue notamment. Nous y reviendrons.

 

Un REPORTAGE de CISSOKO Moussa dit Moses

 

 

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article