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01 CLUB des ANCIENS de BOUAKÉ : 1ère Sortie commentée par CISSOKO Moussa dit Moses

par CISSOKO_Moussa_dit_Moses

publié dans LOISIRS

RENCONTRE du 24 AVRIL 2010 : un REPORTAGE de CISSOKO Moussa dit MOSES

 

Le Samedi 24 Avril 2010 a eu lieu la toute 1ère sortie du Club des Anciens de Bouaké (CAB) de 11 heures à 19 heures 30 sur la route de Dabou à la Paillote Beach, un restaurant gastronomique situé en bordure d’eau. Il faut le dire, cet établissement, une trouvaille de Barboza Angelo de Souza est un cadre somptueux, spacieux et bien aéré qui nous a, un tant soit peu, fait oublier nos restaurants universitaires d’alors.

 

Missa Ettien ne me dira pas le contraire, lui qui, avant qu’on ne récite le bénédicité d’avant repas, avait déjà plongé la main dans la nourriture. Pour un coup d’essai ce fut un coup de maître, au propre comme au figuré étant donné que celle qui était à la manœuvre et qui a tout goupillé n’est autre que Me KOUAKOU Liliane, Notaire de son état.

 

Chapeau Maître. En effet, une fois au lieu du rendez-vous c’est-à-dire la station TOTAL de l’autoroute et après les échanges de civilités, les voitures se sont mises en branle pour une destination qu’on n’oubliera pas de sitôt tant le voyage fut assez long et fastidieux. Mais, à l’arrivée, devant la beauté du cadre, tout le monde avait le sourire aux lèvres et avait du coup renoncé à faire mordre la poussière à Barboza.

 

Une fois installés, nous avons eu droit à des échanges à bâtons rompus. Il n’y avait vraiment pas de sujet tabou. Nous reviendrons plus tard sur les discussions ayant eu trait à l’orientation à donner à notre Club. Pour l’heure, c’est le côté festif qui a retenu notre attention tant nous nous sommes amusés, marrés comme on ne l’avait plus jamais fait depuis que nous avons quitté la fac. Daniel Touré, lui non plus, venu du Gabon où il est en service, ne me dira pas le contraire tant il s’est régalé.

 

Comme nous l’avions précédemment annoncé, l’évocation seule du menu du jour suffisait à faire saliver plus d’un. Le pèse-personne de Mme FADIGA, la tenancière du restaurant, nous a d’ailleurs révélé que le filiforme Missa Ettien a pris 5 kg de plus en l’espace d’une demi-journée.

 

Que dire de plus si ce n’est que Barboza fut d’abord le meilleur bouffeur avant d’être plus tard le meilleur danseur de Zouglou du groupe en souvenir de ses années de hautes et intelligibles luttes estudiantines. Au menu, il y avait du poisson et du poulet braisés, du kédjénou de lapins et de poulets accompagnés de frites de pommes de terre, de l’alloco, du riz et de l’attiéké. Côté boissons, il faut dire qu’il y en avait bézef.

 

Les « Saffroulaïs » que dis-je, la liqueur et la bière n’ont pas manqué tout comme les « Bismilahis » pardon, les canettes de sucreries. Pour mieux digérer, et à la demande de Diabaté Baz, nous avons eu droit à du thé mentholé à la saveur orientale. Par la suite, au moment même où nous nous apprêtions à prendre la route pour un chic bar 5 étoiles de renom que je ne vais pas nommer, nous avons été surpris de voir à plat un des pneus arrières de l’imposante BMW de Me GBATTA Lévrit, Notaire.

 

Ce fut l’occasion pour CISSOKO Moses, Missa Ettien et le propriétaire de ladite BMW de faire montre d’une polyvalence inouïe et donc de talents insoupçonnés en mécanique. Quand tout fut rentré dans l’ordre, nous avons mis le cap sur le bar en question et là, sans laisser aucun répit au DJ de service, tout le groupe s’est retrouvé sur la piste de danse pour bringuer à qui mieux mieux. D’entrée, c’est du Zouglou qui est servi. On ne va pas revenir sur le meilleur en la matière. Suivez mon regard.

 

Ensuite, on a eu droit à de l’abissa et là les meilleurs furent Solange KRA et Missa Ettien sans oublier Mariam BAMBA dont les jeux de rein étaient remarquables et fort remarqués.

 

En Zouk-love, la meilleure fut, sans conteste, Liliane Kouakou avec des déhanchements à nul autre pareil. Quant à Daniel Touré, il faut dire que, globalement,  c’est le meilleur danseur du groupe dans la mesure où il a su tirer son épingle du jeu dans tous les genres musicaux. Lévrit GBATTA lui, ayant un goût immodéré pour le Reggae, était confronté à un véritable dilemme :

 

Rester dans le bar et écouter à son corps défendant une musique qui ne l’enchante que très peu ou aller hors du bar et s’égayer en écoutant du Reggae servi en live par un orchestre au sommet de son art.

 

Le 1er choix fut le sien et il ne l’a pas regretté. Diabaté Baz lui, a peu dansé friand du Rap qu’il est, mais à chaque fois qu’il s’est levé ce fut pour nous faire une démonstration de Yatchana à la grande joie de votre serviteur CISSOKO Moses, féru de cette danse, qui lui, a dû se contenter de la première place en Slow, danse la plus facile au monde.

 

Je ne saurais terminer sans relever le talent culinaire de Marina KONÉ qui a du prêter main forte, par ses instructions, à la gérante des lieux. Ce fut vraiment  beau comme dirait le peintre, sublime comme dirait le poète. Une expérience à renouveler, sans plus.

 

UN REPORTAGE de CISSOKO Moussa dit MOSES

 

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